Sortir de son taudis et prendre l'air... [Libre]
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Sortir de son taudis et prendre l'air... [Libre]
par Jaizin Zinperion Ven 13 Jan - 18:41
Rien de tel que le soleil et l'air pur, si on peut appeler ça de l'air pur, rien que la pollution d'il y a quelques années avant le cataclysme empeste dans toutes les rues de la cité, les véhicules qui aurait la possibilité de rouler encore une dernière fois, laisse des gaz terribles, qui maintenant sont nuisibles pour tout le monde. Je sortais donc de mon petit aménagement dans le bus que j'avais élu second domicile depuis quelques jours afin de me réapprovisionner en nourriture et matériel; piles, celles-ci étaient pourtant très difficiles à trouver malgré les stocks considérable qu'il y avait il y a quelques temps, des pommes, que certains gosses ou autres duellistes faisaient tomber ou laisser sur le sol par une surveillance négligé de leur produits alimentaires.
Cependant, hormis cela, j'avais toujours l'envie de me battre contre tous ceux qui se dressait devant moi, aucune pitié à leur égard, je ne devais rien à personne et tous devais quand à eux m'obéir ou mourir afin d'arriver à mon but, que je n'avais pas oublié et que je n'oublierai jamais tant que je ne l'aurai pas accomplis. Mais, aujourd'hui, je n'avait pas l'humeur de me battre contre qui que ce soit, je voulais passer tranquillement ma journée, et le mieux sans l'aide de personne et sans la compagnie des autres, je préférais la solitude que l'amitié avec d'autres duellistes, je déteste ce genre de choses !
Alors que ma journée se passait bien, quelques minutes plus tard un gros "BOUM" se fit ressentir par la populace, je courus vers la source de ce bruit, ainsi que plusieurs autres gens de ce quartier... En plein milieu d'un ancien rond point, une voiture de la société JENOVA, un gars tenait dans sa main droite, une arme de dernière catégorie, elle pouvait détruire n'importe quoi mis n'avait qu'une charge. Le complice fut très vite interpellé, et je ne voulais pas en voir d'avantage, je repartis donc dans mon coin, tranquillement assis sur mon misérable banc partant en miettes avec le temps. Avoir une arme dans cette ville est un crime, pourquoi essayer de détruire JENOVA avec ces moyens sachant qu'il contrôle tout ce qui se passe dans cette ville, pourrais-je même dire dans le monde, rien ne passe inaperçus, et si un homme de JENOVA est tué, dix sautent sur vous au bout de quelques secondes si vous y êtes pour quelque chose.
Mis à part cette interruption rapide, tout le monde repris rapidement ses activités, les gamins recommencèrent à jouer au duel de monstre entre eux en se faisant des parties à 0 point de mise, quel ironie, il devait quand même dire qu'il ne miser rien, d'autres en revanche faisait des parties, mais pour à peine une dizaine de point, par peur de mourir avec les puces, mais lorsque un commençait à gagner de plus en plus de parties à cause de son "jour de chance", il continuait à parier plus jusqu'à ce qu'il perde tout ce qu'il avait miser auparavant.
Je finis finalement par de plus penser à ces choses aussi futiles et incompréhensible, ce qui comptait pour moi aujourd'hui était la tranquillité, et les autres jours le pouvoir, cependant, je sentais que ce jour allait devenir vite agaçant, je savais qu'un duelliste talentueux allait venir soit pour taper la discute, soit pour me proposer un duel, si c'était le cas et que des points conséquents étaient de mise, je pense que je lèverai mes fesses rapidement pour l'écraser et gagner tous ces points ou la partie de ce qu'il miserai.
-"Y'a rien d’intéressant dans cette ville, pff... Je sens que je vais rester comme ça aujourd'hui pour me détendre un peu..." Dis-je à voix basse.
Cependant, hormis cela, j'avais toujours l'envie de me battre contre tous ceux qui se dressait devant moi, aucune pitié à leur égard, je ne devais rien à personne et tous devais quand à eux m'obéir ou mourir afin d'arriver à mon but, que je n'avais pas oublié et que je n'oublierai jamais tant que je ne l'aurai pas accomplis. Mais, aujourd'hui, je n'avait pas l'humeur de me battre contre qui que ce soit, je voulais passer tranquillement ma journée, et le mieux sans l'aide de personne et sans la compagnie des autres, je préférais la solitude que l'amitié avec d'autres duellistes, je déteste ce genre de choses !
Alors que ma journée se passait bien, quelques minutes plus tard un gros "BOUM" se fit ressentir par la populace, je courus vers la source de ce bruit, ainsi que plusieurs autres gens de ce quartier... En plein milieu d'un ancien rond point, une voiture de la société JENOVA, un gars tenait dans sa main droite, une arme de dernière catégorie, elle pouvait détruire n'importe quoi mis n'avait qu'une charge. Le complice fut très vite interpellé, et je ne voulais pas en voir d'avantage, je repartis donc dans mon coin, tranquillement assis sur mon misérable banc partant en miettes avec le temps. Avoir une arme dans cette ville est un crime, pourquoi essayer de détruire JENOVA avec ces moyens sachant qu'il contrôle tout ce qui se passe dans cette ville, pourrais-je même dire dans le monde, rien ne passe inaperçus, et si un homme de JENOVA est tué, dix sautent sur vous au bout de quelques secondes si vous y êtes pour quelque chose.
Mis à part cette interruption rapide, tout le monde repris rapidement ses activités, les gamins recommencèrent à jouer au duel de monstre entre eux en se faisant des parties à 0 point de mise, quel ironie, il devait quand même dire qu'il ne miser rien, d'autres en revanche faisait des parties, mais pour à peine une dizaine de point, par peur de mourir avec les puces, mais lorsque un commençait à gagner de plus en plus de parties à cause de son "jour de chance", il continuait à parier plus jusqu'à ce qu'il perde tout ce qu'il avait miser auparavant.
Je finis finalement par de plus penser à ces choses aussi futiles et incompréhensible, ce qui comptait pour moi aujourd'hui était la tranquillité, et les autres jours le pouvoir, cependant, je sentais que ce jour allait devenir vite agaçant, je savais qu'un duelliste talentueux allait venir soit pour taper la discute, soit pour me proposer un duel, si c'était le cas et que des points conséquents étaient de mise, je pense que je lèverai mes fesses rapidement pour l'écraser et gagner tous ces points ou la partie de ce qu'il miserai.
-"Y'a rien d’intéressant dans cette ville, pff... Je sens que je vais rester comme ça aujourd'hui pour me détendre un peu..." Dis-je à voix basse.
Jaizin Zinperion- Amateur
- Messages : 3
Carte d'identité
Domicile: Ancien QG et bus
Age: Inconnu, 18 ans en apparence.
Re: Sortir de son taudis et prendre l'air... [Libre]
par Usotsuki Gama Ven 13 Jan - 19:41
8H00
Comme à mon habitude je ne dors que d'un oeil dans les quelques débris qui me servent de lit en attendant le lever du jour comme un charognard, il faut dire que dormir sans faire attention à ce qu'il se passe autour de soi lorsqu'on est un tueur à gage est dangereux et ça l'est tout autant quand on est un duelliste, c'est pour cela que je fais attention plutôt deux fois qu'une dans un quartier ou presque chaque habitant à qui il reste une étincelle de vie serait prêt à tuer tout les autres seulement pour avoir une chance de survivre un misérable jour de plus dans ce monde sans avenir, autant dire que survivre jusqu'à l'âge adulte est une chance ici.
Après avoir ruminé mes pensées un bon moment et avoir râler contre des choses insignifiantes comme la saleté je me décidais enfin à partir, il faut dire que je n'avais pas grand intérêt à rester ici, mes économies avaient pas mal baissées et en plus je commençais à être prit d'un ennuis qui m'aurait presque donné envie de tomber sur un contrat proposant de tuer un pauvre mendiant sans défense pour m'occuper, même si je n'ai rien d'un psychopathe je n'aime juste pas qu'on me contrarie surtout si la contrariété viens de moi et surtout ce genre de contrat ou on vous demande de tuer une personne sans défense parce qu'elle à fait du tort à la mauvaise personne on peut en trouver partout.
J'entamais donc une sortie dans ce bidonville qui me sert de maison afin de trouver une occupation qui me ferais oublier mes pulsions meurtrières, enfin je ne vis pas vraiment dedans à proprement parler, j'habite dans un vieux parking qui a miraculeusement survécu à l'effondrement de l'immeuble qui le surplombait autrefois avant que ce que certains appellent l'illumination ne détruise tout. Je trouve cela pitoyable de voir à quel point les hommes essayent d'oublier les événements tragiques en leur donnant des nom censés adoucir la catastrophe en question alors qu'au final une guerre nucléaire reste une guerre nucléaire quel que soit le nom qu'on lui donne.
Ma marche dans ces rues sordides grouillantes de mendiants durait depuis une bonne dizaine de minutes maintenant et malheureusement je trouvais cet endroit de plus en plus bruyant et désagréable, rien ne changeait jamais ici : les pauvres étaient toujours pauvres, les morts toujours morts, et les affamés cherchaient toujours quelques vieux déchets à manger et c'était quelque chose qui avait le don de m'énerver. De mon coté je marchais tranquillement sous mon manteau de tissu en lambeaux qui était parfait pour masquer mon identité, car si un tueur se faisait découvrir il ne faisait en général pas long feu et ce quelque soit ses relations ou ses capacités.
Finalement j'avais finit par arriver devant une petite ruelle sombre placée vers la périphérie de la banlieue et ou jamais personne ne passait ou ne stationnait par question de sécurité pour leur vie, au fond de celle-ci on pouvait voir un tableau en bois bricolé à la va vite et accroché au mur avec un pieux en métal avec de nombreuses affichettes collées dessus qui attendaient d'êtres prises, c'était la que les tueurs à gages venaient chercher leurs contrats ou venaient réclamer leur payement dans le bureau de l'association en charge de cette tâche qui est quand même plutôt ingrate, on peut les trouver derrière la porte juste à coté.
On pouvait des contrat de tout types et pour n'importe quel motif ici : contrat de meurtre à cause d'un vol, d'une tromperie, d'un passage à tabac ou même pour un regard de travers, certains à des prix différents, chacun avait ses raisons de vouloir tuer un homme et chaque tueur était là pour satisfaire son désir de meurtre moyennant un payement correct bien sûr, les tueurs à gages n'ont rien de héros. Mais au centre du tableau on pouvait voir une affiche différentes des autres, cela faisait plusieurs années qu'elle était là, avant même que je devienne tueur à gage et son contenu était tout aussi étonnant que sa durée de vie :
Cible : Zama Jenova
Age : Inconnu
Localisation : Inconnue
Visage : inconnu
Payement : 1 000 000 PA
Une offre alléchante pour tout tueur à gage qui se respecte mais inaccessible à n'importe quel être humain de ce bas monde, même pour moi qui suis censé être le meilleurs d'entre eux. Mais bizarrement je me sentais comme attiré par elle, moi qui n'avait jamais prit parti pour aucun des deux camps dans la guerre entre JENOVA et le reste du monde je voulais maintenant tuer le leader de l'organisation la plus puissante au monde, moi même je me trouvais franchement stupide mais on ne peut rien contre les pulsions de l'homme c'est bien connu. Après mûre réflexion je pris l'affiche en question avec un autre contrat et je partit rapidement.
En route pour retourner dans ma "maison" après avoir pris le contrat que j'étais venu chercher ansi que l'extra qui allait avec j'entendis une explosion retentir à quelques rues d'ici, je n'avais même pas eu besoin de me poser la question pour savoir qui c'était : JENOVA était de sortie aujourd'hui et comme à leur habitude il faisaient faire de l'exercice au bétail dans l'enclos à mouton. Je n'avais aucune envie de me retrouver en conflit avec JENOVA, même si tuer une patrouille n'était pas un problème pour moi mais je n'avait pas vraiment envie de me faire traquer par toute leur armée disséminée dans le monde après ça, je n'ai rien d'un suicidaire.
Comme je marchais de plus en plus vite à cause de la menace que représentait JENOVA à quelques rues d'ici je faisais de moins en moins attention à ce qu'il y avait devant moi et ce qui devait arriver arriva, j'avais finit par percuter quelqu'un, un homme assez jeune avec des habits encore plus en lambeaux que les miens mais je n'avais pas le temps de m'attarder sur ce genre de chose, je ne tenais pas à être prit dans une embrouille d'ou je ne pourrait pas me tirer en un seul morceau. Sans attendre je repartit en direction de mon parking histoire de ne pas me faire débusquer au moment ou j'en avait le moins besoin.
Comme à mon habitude je ne dors que d'un oeil dans les quelques débris qui me servent de lit en attendant le lever du jour comme un charognard, il faut dire que dormir sans faire attention à ce qu'il se passe autour de soi lorsqu'on est un tueur à gage est dangereux et ça l'est tout autant quand on est un duelliste, c'est pour cela que je fais attention plutôt deux fois qu'une dans un quartier ou presque chaque habitant à qui il reste une étincelle de vie serait prêt à tuer tout les autres seulement pour avoir une chance de survivre un misérable jour de plus dans ce monde sans avenir, autant dire que survivre jusqu'à l'âge adulte est une chance ici.
Après avoir ruminé mes pensées un bon moment et avoir râler contre des choses insignifiantes comme la saleté je me décidais enfin à partir, il faut dire que je n'avais pas grand intérêt à rester ici, mes économies avaient pas mal baissées et en plus je commençais à être prit d'un ennuis qui m'aurait presque donné envie de tomber sur un contrat proposant de tuer un pauvre mendiant sans défense pour m'occuper, même si je n'ai rien d'un psychopathe je n'aime juste pas qu'on me contrarie surtout si la contrariété viens de moi et surtout ce genre de contrat ou on vous demande de tuer une personne sans défense parce qu'elle à fait du tort à la mauvaise personne on peut en trouver partout.
J'entamais donc une sortie dans ce bidonville qui me sert de maison afin de trouver une occupation qui me ferais oublier mes pulsions meurtrières, enfin je ne vis pas vraiment dedans à proprement parler, j'habite dans un vieux parking qui a miraculeusement survécu à l'effondrement de l'immeuble qui le surplombait autrefois avant que ce que certains appellent l'illumination ne détruise tout. Je trouve cela pitoyable de voir à quel point les hommes essayent d'oublier les événements tragiques en leur donnant des nom censés adoucir la catastrophe en question alors qu'au final une guerre nucléaire reste une guerre nucléaire quel que soit le nom qu'on lui donne.
Ma marche dans ces rues sordides grouillantes de mendiants durait depuis une bonne dizaine de minutes maintenant et malheureusement je trouvais cet endroit de plus en plus bruyant et désagréable, rien ne changeait jamais ici : les pauvres étaient toujours pauvres, les morts toujours morts, et les affamés cherchaient toujours quelques vieux déchets à manger et c'était quelque chose qui avait le don de m'énerver. De mon coté je marchais tranquillement sous mon manteau de tissu en lambeaux qui était parfait pour masquer mon identité, car si un tueur se faisait découvrir il ne faisait en général pas long feu et ce quelque soit ses relations ou ses capacités.
Finalement j'avais finit par arriver devant une petite ruelle sombre placée vers la périphérie de la banlieue et ou jamais personne ne passait ou ne stationnait par question de sécurité pour leur vie, au fond de celle-ci on pouvait voir un tableau en bois bricolé à la va vite et accroché au mur avec un pieux en métal avec de nombreuses affichettes collées dessus qui attendaient d'êtres prises, c'était la que les tueurs à gages venaient chercher leurs contrats ou venaient réclamer leur payement dans le bureau de l'association en charge de cette tâche qui est quand même plutôt ingrate, on peut les trouver derrière la porte juste à coté.
On pouvait des contrat de tout types et pour n'importe quel motif ici : contrat de meurtre à cause d'un vol, d'une tromperie, d'un passage à tabac ou même pour un regard de travers, certains à des prix différents, chacun avait ses raisons de vouloir tuer un homme et chaque tueur était là pour satisfaire son désir de meurtre moyennant un payement correct bien sûr, les tueurs à gages n'ont rien de héros. Mais au centre du tableau on pouvait voir une affiche différentes des autres, cela faisait plusieurs années qu'elle était là, avant même que je devienne tueur à gage et son contenu était tout aussi étonnant que sa durée de vie :
Cible : Zama Jenova
Age : Inconnu
Localisation : Inconnue
Visage : inconnu
Payement : 1 000 000 PA
Une offre alléchante pour tout tueur à gage qui se respecte mais inaccessible à n'importe quel être humain de ce bas monde, même pour moi qui suis censé être le meilleurs d'entre eux. Mais bizarrement je me sentais comme attiré par elle, moi qui n'avait jamais prit parti pour aucun des deux camps dans la guerre entre JENOVA et le reste du monde je voulais maintenant tuer le leader de l'organisation la plus puissante au monde, moi même je me trouvais franchement stupide mais on ne peut rien contre les pulsions de l'homme c'est bien connu. Après mûre réflexion je pris l'affiche en question avec un autre contrat et je partit rapidement.
En route pour retourner dans ma "maison" après avoir pris le contrat que j'étais venu chercher ansi que l'extra qui allait avec j'entendis une explosion retentir à quelques rues d'ici, je n'avais même pas eu besoin de me poser la question pour savoir qui c'était : JENOVA était de sortie aujourd'hui et comme à leur habitude il faisaient faire de l'exercice au bétail dans l'enclos à mouton. Je n'avais aucune envie de me retrouver en conflit avec JENOVA, même si tuer une patrouille n'était pas un problème pour moi mais je n'avait pas vraiment envie de me faire traquer par toute leur armée disséminée dans le monde après ça, je n'ai rien d'un suicidaire.
Comme je marchais de plus en plus vite à cause de la menace que représentait JENOVA à quelques rues d'ici je faisais de moins en moins attention à ce qu'il y avait devant moi et ce qui devait arriver arriva, j'avais finit par percuter quelqu'un, un homme assez jeune avec des habits encore plus en lambeaux que les miens mais je n'avais pas le temps de m'attarder sur ce genre de chose, je ne tenais pas à être prit dans une embrouille d'ou je ne pourrait pas me tirer en un seul morceau. Sans attendre je repartit en direction de mon parking histoire de ne pas me faire débusquer au moment ou j'en avait le moins besoin.
Usotsuki Gama- Maitre du jeu
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